Actus

Communiqué

Date : 17/01/2024

Communiqué - 14 organisations du spectacle vivant présenteur leur plan d’action commun pour une transformation du secteur

Nous, organisations professionnelles, fédérations et réseaux du spectacle vivant public et privé, toutes esthétiques et économies confondues, représentant 4000 structures, établissements, entreprises et artistes-auteur·ices, avons décidé d’une coopération durable pour mettre en œuvre plus efficacement la transformation écologique et penser ensemble les évolutions systémiques nécessaires.

Conformément à l’engagement pris début 2023, nous avons construit et déployé ensemble une formation à destination des directions de nos structures adhérentes, signe de notre volonté de sensibiliser massivement nos membres aux enjeux de la transformation écologique. Nous nous sommes également investis tout au long de l’année dans la définition d’une stratégie commune pour accélérer la transformation du spectacle vivant. Nous avons mobilisé le temps et les ressources nécessaires à ce travail coopératif, et avons impliqué nos salarié·e·s et adhérent·e·s dans 5 groupes thématiques.

Plutôt que de viser l’exhaustivité, nous avons choisi de nous concentrer sur des thématiques identifiées fin 2022 comme celles sur lesquelles nos organisations ont la capacité d’agir de façon conjointe : Formation, Politiques culturelles et leurs financements, Travail et emploi, Informations et outils, et Mobilités. Pour chaque thématique, nous avons identifié des engagements à concrétiser collectivement dès 2024, et des préconisations sur les travaux complémentaires à partager avec l’ensemble du secteur.

Notre proposition est désormais prête à être mise en commun, et surtout, mise en œuvre. Au-delà des nouveaux engagements que nous y prenons, ce plan d’action dynamique est conçu pour être débattu et réévalué au fil des années, en fonction des avancées collectives et des ajustements dictés par la réalité des crises à venir.

Pour contribuer à la transformation écologique du secteur, nous nous engageons à :

  • Recenser les formations existantes et les rendre plus visibles et accessibles
  • Contribuer à rendre obligatoire la formation des directions des structures du spectacle vivant
  • Recenser et analyser les pratiques d’éco-conditionnalité
  • Tenir une position partagée sur les adaptations espérées des dispositifs de politiques publiques
  • Mieux diffuser auprès de nos adhérent·e·s les informations adaptées à leurs défis de transition
  • Encourager et accompagner nos adhérent·e·s à la mise en place de modalités contractuelles engagées
  • Mutualiser des postes d’éco-conseiller·ère·s entre nos organisations
  • Construire une position partagée en matière de mobilités culturelles

Et à continuer de pérenniser cette collaboration étroite entamée à la fin de l’année 2022 pour permettre la réalisation de ces engagements. Ce plan d’action donne lieu à un dialogue continu entre nos organisations sur les défis écologiques, créant ainsi les conditions d’une coopération qui pourra dépasser le cadre initié par ARVIVA pour irriguer d’autres espaces.

Une conférence de presse en présence des signataires se tiendra dans le cadre des BIS le 18 janvier 2023 à 9h au « Club de l’Atlantique » de la Cité des Congrès de Nantes, 5 Rue de Valmy, 44000 Nantes.

Signataires :
– ASTP – Association pour le soutien du théâtre privé
– FEDELIMA – Fédération des lieux de musiques actuelles
– FEVIS – Fédération des Ensembles Vocaux et Instrumentaux Spécialisés
– Les Forces Musicales – Syndicat professionnel des opéras, orchestres et festivals lyriques
– France Festivals – Fédération française des festivals de musique et du spectacle vivant
– Futurs Composés – Réseau National de la Création Musicale
– PRODISS – Syndicat des Entrepreneurs du Spectacle Vivant Privé
– PROFEDIM – Syndicat professionnel des Producteurs, Festivals, Ensembles, Diffuseurs Indépendants de musique
– La Scène Indépendante – Syndicat National des Entrepreneurs de Spectacles
– SMC – Syndicat français des compositrices et compositeurs de musique contemporaine
– SMA – Syndicat des Musiques Actuelles
– SNSP – Syndicat National des Scènes Publiques
– SYNAVI – Syndicat National des Arts Vivants
– ARVIVA – Arts vivants, Arts durables

Contact presse : contact arviva.org


Date : 25/09/2023

Communiqué - Formation des dirigeant·e·s à la transformation écologique

En janvier 2023, plusieurs réseaux et organisations professionnelles d’employeurs représentant près de 4000 structures publiques et privées du spectacle vivant se sont engagées à une coopération durable et à déployer dès cette fin d’année une formation sur la transformation écologique à destination de leurs adhérent·e·s.

Afin d’infuser l’ensemble des structures et leur stratégie, le premier jalon sera d’outiller les directions pour qu’elles puissent poser les bases d’une démarche ambitieuse de transformation.

La coordination d’une première formation s’adressant directement aux directions des structures du spectacle sur tout le territoire métropolitain a été confiée à ARVIVA, qui a fait appel à Cyril Delfosse (Le Bureau des Acclimatations) pour en concevoir le contenu.

Afin de garantir une formation adaptée aux réalités des structures concernées, chaque étape de la création (cahier des charges, contenu, stratégie de déploiement) a été pensée avec les organisations impliquées et validée par celles-ci. La conception comme la diffusion de cette formation, inédite à si grande échelle, illustre bien le choix d’une logique de coopération. Les sessions de formation se dérouleront dans des lieux membres des différents réseaux, fédérations et syndicats et seront assurées par des formateur·rice·s issu·e·s d’un appel à manifestation d’intérêt à échelle nationale.

Cette coopération inter-organisations a permis d’établir un calendrier ambitieux. Une première phase de déploiement se tiendra à l’automne 2023, avec 2 sessions organisées dans chacune des 13 régions de France métropolitaine. Chaque session pourra réunir jusqu’à 30 personnes.

Cette première phase est un préambule à un plus grand déploiement, prévu au début de l’année 2024, avec pour objectif pour les organisations professionnelles d’avoir formé l’ensemble des directions de leurs structures adhérentes d’ici au milieu de l’année 2024.

En parallèle de la concrétisation de cet engagement, les organisations membres d’ARVIVA poursuivent la rédaction d’une feuille de route commune en faveur d’une transformation systémique du secteur, qui sera rendue publique début 2024.

Lien vers le site internet et le formulaire d’inscription



Liste des signataires :

  • ARVIVA – Arts vivants, arts durables
  • CAMULC – Syndicat national des Cabarets, Music-halls et Lieux de Création
  • FEDELIMA – Fédération des Lieux de Musiques Actuelles
  • FEVIS – Fédération des Ensembles Vocaux et Instrumentaux Spécialisés
  • FNAR – Fédération Nationale des Arts de la Rue
  • France Festivals
  • Futurs Composés – Réseau national de la création artistique
  • Grands Formats
  • PRODISS – Syndicat National du Spectacle Musical et de Variétés
  • PROFEDIM – Syndicat Professionnel des Producteurs, Festivals, Ensembles, Diffuseurs Indépendants de Musique
  • La Scène Indépendante – Syndicat National des Entrepreneurs de Spectacles
  • SCÈNES – Fédération de la création artistique privée, théâtre, cabarets, producteurs, diffuseurs et lieux de spectacles
  • SMA – Syndicat des Musiques Actuelles
  • SNDTP – Syndicat National du Théâtre Privé
  • SNSP – Syndicat National des Scènes Publiques
  • SYNAVI – Syndicat National des Arts Vivants

Contact presse : eloise arviva.org


Date : 27/04/2023

Communiqué de presse en réaction à la sortie du rapport du sénateur Julien Bargeton sur « la stratégie de financement de la filière musicale en France »

La FEDELIMA, fédération des lieux de musiques actuelles, tient à saluer le travail du sénateur Julien Bargeton qui, dans son rapport remis le 20 avril 2023 à la ministre de la Culture, rend plusieurs préconisations et premières pistes de réflexion auxquelles nous souscrivons pleinement.

La proposition, en particulier, de création d’une contribution financière des acteurs de la musique enregistrée est nécessaire et justifiée. De même, la proposition de l’extension de la taxe sur les spectacles à l’ensemble du champ musical, permettant de mettre les acteurs sur un pied d’égalité, traduit ainsi notre responsabilité commune dans le financement de la filière. Nous relevons également la proposition de baisser le mécanisme de droit de tirage et l’attention portée aux contrats de filières en régions. Ces quatre propositions permettent de renforcer le financement de projets d’intérêt général. Enfin, nous soutenons la proposition de consolider la mission d’observation de la filière musicale.

Toutefois, au regard de la lettre de mission fixée par la Première ministre qui a confié au sénateur Julien Bargeton une mission « de réflexion sur le financement des politiques publiques en direction de la filière musicale », nous souhaitons apporter de la nuance à cet enthousiasme.

La FEDELIMA, dont les membres se revendiquent de l’économie sociale et solidaire*, constate que le rapport se concentre principalement sur le financement de l’établissement public du « Centre national de la musique » et sur la partie marchande de la filière musicale, laissant ainsi planer le doute quant à la mise en place d’une stratégie globale et ambitieuse pour la filière musicale française, qu’il est pourtant aujourd’hui important de sécuriser face à l’industrialisation galopante et au phénomène de concentration qui est à l’œuvre.

Si le sénateur Julien Bargeton note, dans sa conclusion, que sa mission ne consistait pas à « traiter la place durable de la musique en France (...) qui ne peut se passer d’une réflexion approfondie sur l’éducation artistique, de la musique à l’école à la formation dans les conservatoires en passant par les pratiques amateurs », nous regrettons qu’une réflexion plus approfondie n’ait pas été menée sur le financement de la filière musicale dans son intégralité, incluant, en particulier, l’articulation de l’ambition politique et des financements pour la filière musicale entre le Centre national de la musique, le ministère de la Culture et les collectivités territoriales. Le Centre national de la musique ne saurait être le seul outil d’une nouvelle ambition pour la filière musicale en France.

Nous regrettons enfin que le rapport n’aborde pas le financement de la filière à l’aune des enjeux de société : la transition écologique, la nécessité de créer, produire et diffuser mieux, de permettre une accessibilité de toutes et tous à la musique, la nécessité de favoriser l’inclusion, la diversité, le vivre ensemble. Nous défendons l’idée d’une filière vertueuse, capable de sécuriser les acteurs actuels et les parcours professionnels, d’accompagner les créations artistiques, qu’elles soient professionnelles ou en amateur, destinées à une large audience ou à un public confidentiel. Nous défendons l’idée d’une filière éthique, où l’on favorise le bien-être au travail et une vision positive de nos métiers, tout en permettant le renouvellement des pratiques artistiques, l’émergence de nouvelles formes et l’existence d’une réelle diversité artistique pour les publics et les musicien·ne·s.

La FEDELIMA reste attentive à la traduction politique de ce rapport et se tient prête à poursuivre des échanges constructifs et fructueux concernant la stratégie de financement de la filière musicale en France.

* La FEDELIMA défend l’existence d’initiatives citoyennes et non lucratives, différenciées des institutions publiques, dans les multiples dimensions des espaces urbains, périurbains et ruraux. À côté de projets portés par une finalité essentiellement lucrative, des projets artistiques et culturels – et notamment musicaux - ont intérêt à se développer sur tous les territoires et en harmonie avec leurs habitants. Il en va de la dynamique sociétale et d’un vouloir vivre ensemble dépassant largement la seule rentabilité économique. Développant leur projet dans le cadre d’une économie plurielle, les adhérents de la FEDELIMA s’accordent ainsi sur la primauté de l’humain sur le marchand, une orientation explicite au service de l’intérêt général, l’utilité sociale et un ancrage territorial fort.


Date : 08/02/2023

La FEDELIMA et le SMA s’associent pour lancer Déclic

Décarbonons le Live collectivement !

Bien conscient·e·s de la nécessité de faire évoluer les manières de produire et de diffuser des concerts, les plus de 600 adhérents de la FEDELIMA – Fédération des lieux de musiques actuelles et du SMA – Syndicat des Musiques Actuelles s’engagent dans un projet collectif de décarbonation de la filière du spectacle vivant des musiques actuelles (concerts, festivals, tournées, centres de formation).

Dès 2021, à la demande de leurs membres, les deux organisations ont engagé un premier cycle de sensibilisation à destination des structures adhérentes. Plus de 200 professionnel·le·s ont participé à cette mise à niveau sur les enjeux écologiques dans la culture, en particulier sur l’énergie et le climat.

Convaincus par cette dynamique et motivés par la volonté de leurs membres d’aller plus loin et surtout de contribuer activement à l’élaboration d’une stratégie globale, pour des activités culturelles libérées de la contrainte carbone, la FEDELIMA et le SMA ont répondu en décembre 2021 à l’appel à projets « Alternatives Vertes » dans le cadre du PIA4 et de France 2030, porté par la Caisse des dépôts. Ils ont appris en septembre 2022 qu’ils en étaient lauréats.

Quelques mois plus tard : le projet est prêt à être lancé !

Les deux organisations s’allient à l’agence ekodev qui les accompagnera méthodologiquement dans la réalisation de 18 bilans carbone sur un échantillon de structures représentatives de la filière. Cette première étape du projet permettra de consolider les données existantes, afin de dresser un état des lieux objectif de l’empreinte environnementale de la filière. Toujours avec le concours d’ekodev, l’enjeu sera ensuite de dessiner des trajectoires pour accompagner l’ensemble des structures de la filière dans la réduction de leurs impacts et dans le changement de leurs manières de produire et de diffuser pour s’adapter aux contraintes actuelles et anticiper celles à venir. À cette fin, une plateforme ressources sera mise à disposition de l’ensemble des entreprises désireuses de se saisir de ces enjeux.

Afin de proposer un projet complet tant sur le plan scientifique et technique que sur les aspects inhérents à la formation ou aux ressources humaines, plusieurs partenaires ont souhaité rejoindre la démarche. Ainsi, le CNM – Centre national de la musique, Audiens, l’Afdas, le Crédit Coopératif, la Sacem, l’ADEME et la BPI, à travers le dispositif Diag Décarbon’Action, apporteront eux aussi leur soutien.

Par ailleurs, les deux organisations porteuses du projet ont constitué un comité technique. Il sera composé d’une douzaine d’organisations et de professionnel·le·s spécialistes des questions de réduction des impacts sur l’environnement et se sera sollicité à chaque phase déterminante du projet. Il réunira notamment des représentant·e·s du ministère de la Culture, d’ARVIVA, du collectif STARTER (représenté par le Collectif des Festivals et Elemen’Terre), du Shift Project, d’ECOPROD, d’IPAMA, d’éco-conseillers et de représentant·e·s d’adhérents comme l’Aéronef, le Périscope, le Cabaret Vert, les Rencontres Trans Musicales de Rennes...

Déclic se pense donc comme une démarche :

  • Expérimentale : les adhérents souhaitent initier des premières pistes de changement et d’adaptation,
  • Transparente : l’ensemble des résultats sera en accès libre sur un site internet
  • Collective : grâce aux croisements opérés avec les autres filières professionnelles et à l’implication des adhérents dans le projet,
  • Pro-active : car la filière des musiques actuelles est constituée de professionnel·les responsables et désireux·ses de proposer un avenir durable pour leurs métiers,
  • Ambitieuse : car collectivement ces entreprises souhaitent aller plus loin face à l’urgence écologique.

Déclic constitue une nouvelle étape pour la FEDELIMA et le SMA dans l’approfondissement de leur implication vers un modèle de filière musiques actuelles soutenable. Toutefois, les deux organisations sont bien conscientes que l’empreinte carbone n’est pas le seul élément constitutif de la transition écologique et que le dérèglement climatique n’est pas l’unique signe de dépassement des limites sociales et planétaires en cours. La FEDELIMA et le SMA se projettent donc d’ores et déjà vers la suite pour réfléchir à l’impact de la filière concernant le rapport au vivant et à la biodiversité, la gestion des ressources et la durée des cycles de vie.
Enfin, par la réalisation de cette première démarche, les deux organisations et les structures qu’elles représentent, convaincues de l’impact que véhiculent les œuvres dans l’imaginaire de leurs concitoyen·ne·s, espèrent à termes contribuer à la promotion de nouvelles représentations.

Contacts :
Benjamin FRAIGNEAU, FEDELIMA - benjamin.fraigneau fedelima.org | 07 82 83 59 39
Célie CARATY, SMA - celie sma-syndicat.org | 07 67 06 38 70

Les partenaires :
Opération soutenue par l’État dans le cadre du dispositif « Soutenir les alternatives vertes dans la culture » de la filière des industries culturelles et créatives (ICC) de France 2030, opérée par la Caisse des Dépôts.
Avec le soutien du Centre national de la musique.
Avec la collaboration de l’Académie du Climat.

Ils soutiennent Déclic :


Date : 17/10/2022

Création de POPP - Collectif Pour l’Observation Participative et Partagée

Mieux se connaître, coopérer, renforcer les projets sur les territoires, contribuer à l’élaboration de politiques publiques plus justes et plus équitables.

Il y a déjà 20 ans, des groupements d’initiatives artistiques et culturelles relevant principalement de la sphère privée non lucrative créaient une méthode d’observation participative et partagée (OPP).

L’enjeu consiste à développer collectivement une capacité à rendre visible, mesurer, analyser la nature et la forme de projets d’acteurs, leurs activités, et plus largement, leur rôle dans l’environnement politique, économique et social. L’OPP s’appuie donc sur une philosophie d’action qui associe les acteurs sur un mode participatif et de coopération dans la réalisation d’enquêtes.

Le but est d’encourager et faciliter le partage d’informations par des outils et des modalités du rendre compte, qui participent d’une meilleure connaissance à des fins de reconnaissance et d’évaluation. Son succès tient à l’association directe, d’acteurs de nature différente : des porteurs d’initiatives, des groupements, des universitaires et les institutions publiques.

Aujourd’hui, 20 organisations s’engagent dans une nouvelle étape de la démarche en fondant une association.

POPP a pour objet de :
 fédérer les groupements impliqués dans des démarches d’OPP ;
 promouvoir, accompagner et coordonner les démarches d’OPP ;
 développer et assurer le fonctionnement d’outils collectifs, notamment
 numériques et en ligne, dédiés aux démarches d’OPP.

POPP s’adresse à toute personne morale ou physique désireuse de s’impliquer dans une démarche d’OPP :
 groupements (fédérations, réseaux, collectifs, syndicats) ;
 collectivités, État ;
 institutions (agence, centre national...) ;
 sociologue, universitaire...

LES MEMBRES FONDATEURS DE POPP :

FAMDT - Fédération des acteurs et Actrices des Musiques et Danses Traditionnelles
FEDELIMA - Fédération des Lieux de Musiques Actuelles
FERAROCK - Fédération des Radios Associatives Musiques Actuelles
FEVIS - Fédération des ensembles vocaux et instrumentaux spécialisés
FFEC - Fédération Française des écoles de Cirque
FNAR - Fédération Nationale des Arts de la Rue
FNEIJMA - Fédération Nationale des Écoles d’Influence Jazz et Musiques Actuelles
Grabuge - Réseau des musiques actuelles du Grand Est
Grands Formats - Fédération d’artistes pour la musique en Grands Formats
Haute Fidélité - Pôle des musiques actuelles en Hauts-de-France
KOLET’ - Réseau des acteurs culturels du spectacle vivant de La Réunion
Octopus - Fédération des musiques actuelles en Occitanie
OPALE - Pôle ressources Culture & Économie Sociale et Solidaire
PAM - Pôle de coopération des Acteurs de la filière Musicale en Région Sud & Corse
Le Pôle - Le Pôle de coopération des acteurs pour les musiques actuelles en Pays de la Loire
PRMA - Pôle Régional des Musiques Actuelles de La Réunion
RIF - Réseau des musiques actuelles en Île-de-France
RIM - Réseau des Indépendants de la Musique en Nouvelle-Aquitaine
Supermab - Espace de coopération pour les musiques actuelles en Bretagne
UFISC - Union Fédérale d’Intervention des Structures Culturelles

Pour toutes demandes d’informations complémentaires :
contact cpopp.org