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Retrouvez dans cette bibliothèque numérique la liste des documents publiés par la FEDELIMA classés par ordre chronologique, type et thématique.
Mémoire de Julien Pion, étudiant en DESS "Administration locale, développement local et culturel" de l’Université Reims Champagne-Ardenne, soutenu en octobre 2002. "Pratiques à risques, les musiques actuelles amplifiées n’en constituent pas moins des éléments majeurs de la création artistique contemporaine. Ces musiques populaires se sont développées dans un contexte urbain dans lequel elles trouvent leur inspiration ainsi que leur public. Mais la ville, et notamment celle de Paris, est peu disposée à accueillir ce qu’elle considère comme une nouvelle forme de nuisance. Elle l’est d’autant moins que ces musiques s’expriment dans des lieux souvent peu adaptés à ces pratiques. Les petits lieux de concerts, qui serviront de cadre à notre étude, constituent pourtant les principaux moyens d’expérimentation et de diffusion des artistes amateurs ou en voie de professionnalisation."
Mémoire de fin d’année de Laetitia Longeard étudiante en Maîtrise de Conception et Mise en œuvre de Projets Culturels à la Faculté d’Economie Appliquée d’Aix-Marseille III, réalisé dans le cadre de son stage à La Fédurok. Ce document à pour objet de faire un historique et une description du dispositif SMAC (Scènes de Musiques ACtuelles) mis en place par le ministère de la culture.
Mémoire de Maîtrise "Conception et Mise en œuvre de Projets Culturels" (Université d’Aix-Marseille III) réalisé par Mélanie Chanal et soutenue en juin 2002. Résumé : La musique est le loisir préféré des jeunes , elle est pratiquée par nombre de personnes, et elle fait partie de notre quotidien puisqu’on en entend partout, de l’ascenseur au supermarché, en passant par les boutiques et parfois sur le lieu de travail. Ce sont souvent les mêmes morceaux que l’on entend à la radio, les grands classiques ou les titres à la mode. Mais qui se cache derrière la création et la distribution de musique ? Les disques, qui sont le vecteur privilégié de la musique, sont entrés depuis quelques décennies dans le champ du marketing, la musique s’achète comme un autre produit. On a envie de posséder "l’objet-musique" chez soi. Comment sont déterminés nos choix d’achat ? Quel est le statut actuel de la musique : est-ce une activité artistique, un Art à part entière, ou un produit conçu pour séduire un public ciblé ?
Mémoire de Olivier Caro, étudiant en DESS "Développement Culturel de la Ville" de l’Université de La Rochelle, soutenu en septembre 2002. Résumé : "A compter du 1er janvier 2002, les entreprises de moins de 20 salariés ont eu l’obligation d’abaisser la durée moyenne du temps de travail à 35 heures. Cette réforme est considérée par de nombreux observateurs comme une catastrophe pur le secteur culturel. Cette étude, réalisée à partir d’une enquête auprès des adhérents de la Fédurok (Fédération des lieux de musiques actuelles / amplifiées), traite des conséquences observables et prévisibles de ce texte sur les lieux de diffusion des musiques amplifiées."
Étude réalisée par Flavie Van Colen pour le CRY pour la musique et la Fédurok en juin 2002 avec le soutien du Ministère de la Jeunesse, de l’Éducation Nationale et de la Recherche, et de la Caisse de dépôts et consignations. Historiquement, de nombreux lieux de musiques amplifiées ont été construits sur des projets culturels et artistiques portés par des structures associatives dont certaines émanaient de fédérations d’éducation populaire. Aussi dans leurs modes d’accompagnement des musiciens, des populations, dans les projets qu’ils animent, dans leur fonctionnement et les relations qu’ils entretiennent avec leur territoire, ces lieux ont-ils souvent le sentiment de croiser les fondements idéologiques de l’éducation populaire. C’est ce croisement qui est ici explicité.
Mémoire de DESS "Direction d’équipements et de projets dans le secteur des musiques actuelles et amplifiées, Université d’Angers" soutenu en 2003. "Au sein du système culturel français, les Musiques Actuelles occupent une place particulière. Parents pauvres, méconnues, sous estimées, ces pratiques connaissent pourtant un net regain d’intérêt de la part du public. De plus, elles deviennent parti intégrante des politiques de soutien des collectivités territoriales, notamment via les Associations Départementales de Développement Musical et Chorégraphique (ADDMC) qui ont à charge dans leurs missions le soutien et le développement des pratiques des Musiques Actuelles sur leur territoire. Mais la multiplicité de leurs actions n’est pas toujours le moyen le plus sûr d’acquérir la légitimité de leurs politiques. C’est ce dont nous avons pu nous rendre compte durant un stage à l’ADDM 49. Tout au long de ce mémoire, nous tenterons de mettre en évidence les facteurs influant sur cette probable légitimité, qu’elle soit institutionnelle, ou issue du terrain. Enfin, nous proposerons des pistes de réflexion susceptibles de contribuer à donner pleinement cette légitimité aux politiques menées par les ADDMC, ainsi qu’à ses acteurs.
Mémoire soutenu en 2003 pour le DESS " Direction d’Equipements et de Projets dans le secteur des Musiques Actuelles et Amplifiées » de l’université d’Angers. Résumé : Le présent document est une réflexion menée sur le thème de l’intercommunalité culturelle. Le territoire qui a été choisi pour effectuer ces recherches est la communauté de communes Maremne Adour Côte-Sud (M.A.C.S.). Cette initiative a pour objectif d’examiner à partir du cheminement M.A.C.S. la mise en place de l’intercommunalité culturelle au sein d’un territoire rural, d’établir un état des lieux des pratiques de usiques actuelles et amplifiées, de donner aux élus locaux des éléments de bilan et de perspectives pour le développement de ces pratiques. Cette étude a abouti à une série de préconisations pour que ces musiques soient intégrées dans la réflexion globale menée par les élus de M.A.C.S. pour définir leur politique culturelle. Elles sont axées essentiellement sur la construction de locaux adaptés et sur la coordination d’actions.
Mémoire de DESS "Direction d’équipements et de projets dans le secteur des musiques actuelles et amplifiées, Université d’Angers" soutenu en 2003. La question qui nous intéresse est de comprendre la place que peuvent prendre les musiques amplifiées dans un projet de coopération culturelle intercommunale. En effet, le système culturel français reconnaît depuis une vingtaine d’années une pratique considérée comme marginale pour bon nombre de politiques et d’acteurs culturels.Secteur en plein développement, les musiques amplifiées bénéficient aujourd’hui d’un véritable engouement national. De plus en plus de salles, d’organismes, de lieux de répétitions, de structures d’accompagnement et d’associations, symbolisent de cette reconnaissance. Si d’un point de vue national les musiques amplifiées connaissent un véritable engouement, ce n’est pas aussi évident au sein de la Communauté d’agglomération du Val d’Orge. A partir de nos connaissances de terrain et de la connaissance du secteur des musiques amplifiées, il nous a semblé important de proposer au président de la communauté d’agglomération et au vice-président délégué à la culture une étude globale sur les musiques amplifiées au sein de la communauté d’agglomération du Val d’Orge.
Mémoire de DESS "Direction d’équipements et de projets dans le secteur des musiques actuelles et amplifiées" de l’Université d’Angers, 2003. Quelle est l’influence de la mondialisation de la culture sur les musiques du monde ? Comment leur éviter d’en subir des conséquences négatives ? Comment parvenir à concilier en même temps leur authenticité et leur diffusion auprès d’un public de plus en plus vaste ? Comment préserver ce patrimoine culturel immatériel de l’humanité, alors que la mondialisation de la culture s’intensifie de plus en plus ? Quelles sont les alternatives qu’il est possible de développer ? Le métissage entre des musiques issues de cultures différentes risque-t-il de causer la disparition des cultures traditionnelles ?
Mémoire du DESS "Direction d’équipements et de projets dans le secteur des musiques actuelles et amplifiées" de l’Université d’Angers, 2003. L’étude est orientée sur la manière dont Tissé Métisse, lieu "nomade" de diffusion et de reconnaissance des pratiques artistiques des quartiers, peut intégrer une résidence d’artistes de musiques actuelles dans ses projets d’action culturelle. Le mémoire analyse le sens et les enjeux que peut provoquer une action culturelle telle la résidence d’artistes dans le contexte des quartiers en difficultés. Il souligne des éléments analytiques et méthodologiques utiles à l’ensemble des acteurs culturels.