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Retrouvez dans cette bibliothèque numérique la liste des documents publiés par la FEDELIMA classés par ordre chronologique, type et thématique.
Programme des rencontres "pratiques musicales" de la FEDELIMA, organisées les 26 et 27 novembre 2024 à Besançon à La Rodia, Le Bastion et le Conservatoire à rayonnement régional du Grand Besançon.
Programme des rencontres "Pratiques musicales actuelles et populaires : diversité des personnes, diversité des trajectoires" coorganisées par la FEDELIMA, la FAMDT, Octopus et le Collectif RPM des rencontres au Cri’Art (Auch) les 22 et 23 novembre 2022.
Synthèse des rencontres dédiées aux pratiques en amateur qui se sont déroulées à Roubaix (ARA) les 12/13 novembre 2019.
De nombreuses études statistiques nous l’ont souvent rappelé, la musique est la première pratique artistique des Français et ce n’est pas récent ! Expression personnelle et/ou collective qui permet de se rendre acteur et non pas seulement consommateur de culture, la pratique musicale en amateur fait écho aux droits fondamentaux de l’homme : toute personne a le droit de participer à la vie culturelle.
Et ce sont bien les personnes qui pratiquent en amateur qui sont au cœur de cette étude. Mais qui sont-elles ? Cette question qui sous-tend le premier volet de cette publication tient à la volonté d’actualiser la perception de ces musiciens et musiciennes et de mieux connaître leurs parcours et leurs pratiques. Quels instruments, quels styles de musique pratiquent-ils ? À quelle fréquence ? Pourquoi ? Dans quels lieux ? Autant de questions qui ont été posées en entretiens collectifs à plus d’une centaine de personnes, en complément d’une enquête en ligne à laquelle 1 300 musiciennes et musiciens ont répondu. Ce travail de recherche a permis d’affiner les représentations des pratiques collectives et volontaires en amateurs et de rendre visibles les artistes qui s’y adonnent.
"Musiciens, musiciennes : vous avez dit amateurs ?" - Programme des rencontres autour des pratiques en amateur (12/13 novembre) à l’ARA (Roubaix)
Mémoire soutenu en novembre 2004 par Séverine LUC pour le DESS " Direction d’Equipements et de Projets dans le secteur des Musiques Actuelles et Amplifiées » de l’université d’Angers. Résumé : Les musiciens amateurs ont besoin d’équipements pour se produire devant un public. Car la pratique est l’unique moyen pour construire, élaborer un projet et être artistiquement reconnu. La question de la diffusion est donc primordiale pour les groupes amateurs. Or, l’absence de statut juridique des musiciens ne facilite pas leur intégration dans les équipements culturels. L’enjeu est aujourd’hui de définir un véritable statut du musicien amateur, et ceci particulièrement dans le secteur des musiques actuelles et amplifiées. Nous verrons quel est le droit de cité des musiciens amateurs dans les équipements voués aux musiques actuelles à Nantes et quelles alternatives aux modèles établis par les institutions doivent être développées, afin de nourrir le vivier de la création artistique amateur
Mémoire de DESS "Direction d’équipements et de projets dans le secteur des musiques actuelles et amplifiées, Université d’Angers" soutenu en 2004. Se faire plaisir, confronter leur production à un public, satisfaire un besoin d’expression, s’aguerrir techniquement, développer un projet artistique original et de qualité, autant de motifs pour qu’un groupe amateur de musique amplifiée souhaite monter sur scène. Des motifs qui peuvent évidemment être différents d’un individu à l’autre au sein du même groupe ; et même évoluer pour chaque individu au fil de sa pratique... Dans tous ces domaines d’intervention en direction des pratiques amateurs des progrès restent sans doute à faire. Tant en terme de pérennisation et de développement de l’existant qu’en terme de maillage territorial de l’offre. Mais tous les avis semblent converger vers l’idée que c’est le domaine de la diffusion des spectacles amateurs qui semble le plus défaillant. Entre demande constante, voire accrue, des groupes amateurs, cadre juridique débattu, schémas pédagogiques questionnés, enjeux professionnels, questions de lieux et de territoires, regards artistiques et évolution des politiques culturelles, il semble bien que la question de la diffusion des groupes amateurs soit une sorte de boîte de Pandore dont l’ouverture fait surgir une grande partie des problématiques d’un secteur encore en mutation.